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Katy Perry a 30 ans et n'est pas une adulte

Gamine, moi ?

30 ans, c’est l’âge de la maturité. Enfin, ça, c’est ce qui se dit. Parce qu’en réalité, la trentaine ne change rien du tout. On n’arrête pas de s’amuser ou de rigoler du jour au lendemain. La seule chose qui change c’est que les jeux puérils auxquels on avait l’habitude de s’adonner deviennent alors des petits plaisirs (encore plus) coupables. Je veux bien évoluer, grandir… mais seulement sur certains trucs. Car il y a des choses sur lesquelles je tiens à mon indépendance de libre-penseuse… comprenez par là, mon immaturité assumée.

Un calendrier de l'avent pour les grandes filles

Suis-je trop vieille pour avoir un calendrier de l’avent ?

J’adore le mois de décembre. Quand d’autres se plaignent qu’il fait froid et que les jours raccourcissent, j’exulte en ressortant mes gants et en priant pour qu’il se mette à neiger. Décembre, c’est le mois des fêtes et des cadeaux. Les cadeaux que l’on fait à ses proches… mais aussi les cadeaux que l’on se fait à soi-même. De ce point de vue-là, le calendrier de l’avent est inégalable : il distille quotidiennement ses présents tout au long du mois. C’est une sorte de compte à rebours joyeux jusqu’au jour tant attendu de Noël. Quand on parcourt la blogosphère, on a rapidement l’impression que c’est très répandu et surtout hyper-cool d’avoir un calendrier de l’avent, même quand on est adulte. Il suffit de voir le nombre de DIY de blogueuses expliquant comment fabriquer le sien, de lire les comparatifs entre les différents modèles disponibles… pour se dire qu’avoir un calendrier de l’avent quand on est une grande fille fait presque partie des choses nécessaires en cette fin d’année. En plus, comme pour enfoncer le clou, …

Amy Adams dans Il était une fois

Savoir rester (un peu) naïve

On apprend en grandissant, c’est indéniable. On acquiert de l’expérience, on découvre de nouvelles choses. Cela nous permet de poser un regard plus lucide sur le monde qui nous entoure et ainsi d’évoluer. Pour autant, à l’âge de 30 ans (ou presque), il est parfois bon de se détacher de la réalité pour se laisser bercer par un peu de naïveté. La semaine dernière j’expliquais qu’arrivée à la trentaine certaines illusions que j’avais pu avoir auparavant s’étaient envolées. Cependant, je conserve malgré tout une bonne dose de naïveté. L’attitude candide avec laquelle j’aborde certaines situations est souvent source de déconvenues, mais ce n’est pas grave, je suis heureuse d’avoir su garder un peu d’innocence. Se raccrocher à des  croyances, même farfelues, permet de conserver une dose de fraîcheur face à la morosité ambiante. Car le cynisme, à la longue, ça finit par vous bouffer l’estomac. Et je suis trop jeune pour avoir des ulcères.

Une jeune fille avec des ballons

Les nouveaux joujoux des grandes filles

On a besoin de s’amuser à tout âge. Pour autant, est-il bien raisonnable de posséder des jouets quand on a 30 ans (ou presque) ? Je me suis posée cette question après avoir passé les dernières 48h à surveiller mon iPhone du coin de l’œil, attendant avec un enthousiasme frisant l’hystérie la mise à jour vers iOS7. Lorsque j’ai réalisé l’excitation que me procurait le renouvellement d’un simple système d’exploitation sur mon téléphone (!), je me suis rendue compte d’à quel point j’étais gravement atteinte même en étant adulte on avait toujours besoin de joujoux. En effet, les jouets et les jeux sont toujours présents dans nos vies d’adultes. Certains de ces néo-jouets nous sont même indispensables, allant jusqu’à aliéner notre vie. Même s’ils ont changé de forme, les joujoux restent aussi importants pour nous aujourd’hui qu’ils l’étaient hier. Petit tour d’horizon de nos jouets préférés d’antan… et de leurs équivalents actuels !

Diane Kruger et un ours en peluche géant

Suis-je trop vieille pour avoir un doudou ?

Un doudou, qu’est-ce que c’est ? C’est un objet fétiche et souvent honteux… mais dont on ne se séparerait pour rien au monde. Quand on est petit, on a le droit de l’emmener partout, puis, en grandissant, on est amené à s’en séparer petit à petit. Dans un monde d’adultes en costard-cravate, avouer qu’on en a un est souvent mal perçu. Pourtant, il est très fréquent de garder malgré tout un ou deux vestiges de notre enfance. Ces doudous peuvent prendre des formes très diverses : une peluche usée, une vieille paire de chaussettes Mickey, un vêtement qui a du vécu… Et il ne faut pas croire qu’il s’agit là d’une manie uniquement féminine ! Au contraire, ces messieurs aussi ont besoin de s’entourer de choses douces et familières pour se sentir bien. Dès lors, doit-on prendre sur soi et se passer de force de nos doudous quand on a 30 ans (ou presque) ?

Angelina Jolie a trente ans (ou presque)

A 30 ans, je passe au vert

C’est la tendance ces dernières années, tout le monde n’a que cette expression à la bouche : le « développement durable » est partout. La protection de la planète est devenu le nouveau dada des médias et des politiciens. Même les stars s’y sont mises. En son temps, BB avait fait figure de précurseur avec son combat en faveur des bébés phoques… aujourd’hui les célébrités qui ne sont pas engagées en contre le réchauffement planétaire ou pour la protection de telle ou telle espèce de gnou, sont carrément relou. C’est aussi le cas des entreprises, qui se forgent une bonne image auprès des consommateurs à grands coups de labels verts. Pourtant, être « green », cela va bien au-delà des beaux discours et de l’effet de mode. S’engager dans une démarche de développement durable, c’est s’ouvrir au monde, se montrer conscient de ce qui nous entoure. C’est se rendre compte qu’on n’est pas tout seul sur cette planète et que nos actions déterminent notre futur et celui des autres. L’approche de la trentaine me paraît un bon moment pour …